Anaël Verdier

Je suis Anaël et j'écris. Ma fascination pour la vie, qui est cette opportunité de jouir, d'explorer, d'apprendre, de (se) rencontrer, guident mon écriture. Sur ce blog, je partage des fragments de moi avec vous, comme une pochette surprise remplie d'amour. Mon dernier livre est disponible ici: https://amzn.to/2r7CMeU

Entre-deux

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Entre deux projets, il y a le vide. Le vide et l’attente. C’est une attente qui n’a pas de visage, pas de forme. On attend. « Qu’attends-tu ?—Je ne sais pas.— Comment sauras-tu que tu as fini d’attendre ? » Haussement d’épaules. Je le saurai parce que je serai à nouveau entraîné par l’évidence de la clarté, comme … Lire la suite

Les ateliers en Octobre 2023

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Après plein de changements dans ma vie, après la livraison du projet Alfred (un long et éprouvant marathon d’écriture), c’est reparti pour une nouvelle saison d’ateliers. Si le calendrier des stages de nouvelles n’est pas encore défini, Octobre est déjà bien parti : Le lundi, j’anime un atelier narration sur le thème du Show and … Lire la suite

Q4 2023

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Le dernier trimestre de l’année commence. Le premier trimestre si on compte en années scolaires. Dans les deux cas, c’est une période importante pour les indépendants. L’opportunité de poser de nouvelles intentions, d’établir un axe de concentration pour clôturer l’année sur une note enthousiaste. Le dernier segment de route pour sprinter et atteindre ces objectifs … Lire la suite

2023 08 17

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23088 mots en 12 jours. De grandes étendues de nature où me dépenser après mes intenses séances d’écriture. Encore 12 jours. Midpoint de ma retraite (pas du projet, là, c’est le dernier sprint. 5 mois de travail non stop, 20 épisodes par mois à part en juillet où je n’en ai écrit que 10.) C’est … Lire la suite

7.8.23

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Les semaines se suivent sans se ressembler. Quelle aventure que cette écriture marathonienne. Longtemps que je n’ai plus eu envie d’écrire ici. Pas seulement un manque d’envie mais un repli de l’écriture sur elle-même. Peut-être qu’elle était plus dure, qu’elle avait besoin de mûrir dans son coin. Peut-être, simplement, qu’il y avait trop de poids … Lire la suite