La nouvelle est un format que j’affectionne. Rapide à écrire et exigeante, elle ne permet à l’auteur aucun faux pas. Tout doit être nécessaire et bien calibré dans le texte court.
Ecrire des nouvelles me permet d’expérimenter avec de nouveaux genres et de nouveaux styles sans m’engager dans de fastidieux mois de travail. Il est essentiel, dans le travail de l’auteur, que celui-ci trouve du plaisir à ce qu’il fait. Engagez-vous dans un roman de trois cents pages pour vous rendre compte que le sujet vous déplaît, que le genre n’est pas votre tasse de thé ou que les personnages n’ont rien dans le ventre, et vous êtes parti pour une bonne dose de frustration. Et je ne parle pas de la bonne frustration, celle qui favorise la créativité. Non, là il s’agit bien de celle qui vous bloque net dans votre élan.
La nouvelle m’évite ces mauvaises surprises en me permettant de tester une histoire. Si je m’y sens bien et que le format court ne me suffit pas pour explorer tout ce que j’ai envie de dire sur le sujet ou tout ce que j’ai à visiter dans l’univers, alors je peux me lancer dans un texte plus long.
Dans la marge de cette page, vous trouverez des liens vers les pages de présentation de mes textes. Un code vous permet de les identifier par genre. Parfois plusieurs genres sont associés à un même texte. Dans ce cas, le code le plus à gauche correspond au genre dominant de la nouvelle.
- (a): anticipation
- (r): romance
- (p): psychologique
- (t): thriller
- (n): noir
- (c): comédie