Soixante douze
C’est, bon an mal an, le nombre de mois qu’il me faut pour me sentir à l’étroit. J’en suis là. Plus envie d’écrire de la fiction, plus envie d’entendre parler d’écriture ou de livres (je saisis l’ironie d’être en train d’écrire cette phrase). J’ai envie d’autre chose. De visuel, de tactile, de longs monologues seul … Lire la suite