Le soleil réchauffe la peau mais quand il souffle, le vent nous glace
Samedi après-midi en centre-ville pour retrouver des amis. Le bruit et la masse de gens m’épuisent. Je n’ai plus autant le goût des foules… si tant est que je l’aie jamais eu. L’attention d’une interaction sociale prolongée m’épuise. Déjà mardi, avec Isabelle, sur la fin, je me sentais partir. Plus souvent absent de la conversation, … Lire la suite