De meilleurs problèmes

Tony Robbins, je crois que c’est dans Pouvoir Illimité, dit que le but de la vie n’est pas de cesser d’avoir des problèmes mais d’avoir de meilleurs problèmes. Je suis content d’avoir les problèmes que j’ai et content qu’ils ouvrent le chemin vers d’encore meilleurs problèmes. C’est un bon paradigme à adopter, qui oriente vers une … Lire la suite

De l’utilité de la mélancolie

l'utilité de la mélancolie

Je n’aime pas les Dimanche. Chaque dimanche soir, je m’enfonce dans les noirs abîmes de mon angoisse existentielle. J’appelle ça mes mini burnouts. Je me rappelle des vers de l’Ecclesiaste: Vanité des vanités, dit l’Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité. Quel avantage revient-il à l’homme de toute la peine qu’il se donne sous le soleil … Lire la suite

Swedish memories

Jonköpping me fait penser à Forbach. Aucun lien. Aucune ressemblance. Probablement juste le contexte dans lequel j’y vais. Et le fait que chacune de ces petites villes ait vu naître quelqu’un de connu. La neige, bleue dans le ciel sombre du milieu d’après-midi. Les trajets en bus. Beaucoup de trajets en bus. Pour aller à … Lire la suite

Ce truc que j’appelle ma vie

Il y a des jours où j’aimerais trouver le bouton reset de mon existence. La vérité c’est que je ne sais pas encore si la vie est une grande aventure exaltante ou une vaste supercherie. J’oscille entre la certitude qu’elle a du sens et la conviction qu’elle est vaine. Je me dis qu’en reprenant au départ … Lire la suite

Être perfectible

Au cours d’une intéressante discussion avec mon père est arrivée cette question de la légitimité de l’artiste. Quand je lui ai dit que je continuais à beaucoup lire et apprendre sur l’écriture, il a dit: « mais alors c’est que tu n’es pas bon ». Choc paradigmatique. « Reconnaître que je suis perfectible ne veut pas dire que … Lire la suite

Respirer, marcher

Dernièrement, j’ai retrouvé mon rythme. Couché à quatre heures du mat, debout à dix. Je me reconnais davantage dans ces horaires, dans ces humeurs, dans ce que je produis dans ces temps-là. En temps normal j’évite de me permettre ces horaires. L’école de mon fils apprécie moyennement mon air hébété quand je sonne une heure après … Lire la suite