Seuil

Au début, il y a une texture, une densité ou sa promesse. L’impression de ne rien toucher de tangible. Une sensation fugace. Des mots évanescents. La sensation de devoir avancer à pas feutrés, comme pour ne pas effaroucher le texte qui se tient là, à l’orée d’une clairière ou dans la pénombre d’un sous-bois de … Lire la suite

Who can handle me?

« Your face sits in my periphery like a treeline street. Nothing is ours to keep. Saya you don’t have to conform. Place your knees on the ceiling and the ceiling will turn into the floor ». « My ADHD means I cannot focus on more than one thing at a time ». People tend to expect continuity in … Lire la suite

Certains jours, les mots

Rouillés. Réfractaires. Synapses paresseuses. Pourquoi une telle haine des phrases nominales ? Tout un livre en phrases nominales. Aucun verbe, mais des mots, des choses, des images, des sensations, le langage en passerelle vers l’expérience sensible. Absence de verbe, absence de point de vue ? Non. Le filtre d’une subjectivité derrière le choix des impressions et des … Lire la suite

Hippodrame

Rien à raconter sur ce titre, mais je voulais le consigner quelque part parce qu’en lisant de travers « hippodrome », j’ai senti l’étincelle de quelque chose. Un drame équestre, un mélodrame en calèche ? Ou une version plus métaphorique, comme un drame lancé au galop. Hippodrame, donc. Je m’interroge sur la légèreté et la complexité. Peut-on … Lire la suite